En se procurant un bien immobilier, appartement ou maison, dans le but de le mettre en location, vous vous donnez la chance de se constituer un patrimoine et une rentrée d’argent pérenne. Mais avant de se lancer, vous devez vous poser la question sur le choix de l’immobilier : neuf ou ancien ?
Pourquoi favoriser le neuf ?
Bien que le bien soi en location, certains travaux sont à la charge des proprios mais non les locataires. En plus du confort dans le logement neuf, l’investisseur ne sera pas obliger d’effectuer de nombreux travaux durant les années à venir. C’est une économie considérable qu’il réalisera à cet effet. Par la même occasion, dans le cas d’éventuel désagrément, le propriétaire peut faire jouer la garantie biennale et décennale. Par la suite, les loyers des immobiliers neufs sont plus élevés. Le propriétaire d’un logement neuf en location peut également profiter d’une remise sur les impôts en fonction du dispositif de défiscalisation qu’il choisit. Enfin, les frais de notaires sont plus abordables, environ 2 à 3% du montant de la transaction.
Pourquoi se tourner vers l’ancien ?
L’avantage principal d’investir dans l’ancien réside dans le fait que le futur aura un large en matière d’emplacement du bien pour un investissement locatif. Effectivement, les immobiliers anciens sont localisés n’importe où : au cœur de la ville, en périphérie. Ils sont généralement implantés à proximités des centres d’affaires, des écoles. Par conséquent, ils sont plus sollicités par les demandeurs de logement. La maison ou l’appartement ne demeurera pas inoccupé durant de longue période. Comme le cas de l’immobilier neuf, il existe divers dispositif de défiscalisation proposés aux investisseurs dans l’immobilier ancien dans le cadre d’un investissement locatif. Le plus utiliser d’entre tous est le système du déficit foncier déductible des revenus imposables.