Vous entrez tout juste dans la vie professionnelle et souhaitez déjà devenir propriétaire ? C’est tout à fait possible, grâce à diverses solutions de financement, d’acquérir une maison d’habitation quand on est encore tout jeune. C’est même beaucoup plus avantageux que de toujours attendre le bon moment.
Les moyens offerts aux primo-accédants
Plutôt que de souscrire un bail et de payer une bonne somme pour un bien qui, au final, ne vous appartiendra pas, tirer profit des aides financières mises en place par les pouvoirs publics’avère plus intelligent. Le prêt à taux zéro est l’une des meilleures offres pour les primo-accédants ou tout simplement les personnes qui achètent un bien immobilier pour la première fois. Le PTZ n’est accordé que s’il s’agit de l’achat d’un bien neuf ou de la construction d’une résidence principale. Comme ce prêt ne couvre jamais la totalité d’un investissement immobilier, vous devez avoir recours à un autre financement, également facilité : le PAS. En tant que jeune salarié, vous êtes parfaitement éligible au prêt à l’accession sociale. Cet emprunt complémentaire est accordé aux foyers modestes dont le revenu ne dépasse pas le plafond du PAS.
Les conditions requises pour devenir propriétaire pendant ses études
Jeune et primo-accédant ou pas, les banques n’accordent de prêt qu’aux personnes ayant un revenu stable. Ainsi, pour voir accepter votre demande de financement pour l’achat de votre premier bien immobilier, vous devez justifier d’au moins un an d’ancienneté en CDI. Outre la stabilité financière, un bon comportement financier est important pour se voir attribuer un prêt bancaire. Un petit découvert de temps en temps peut être acceptable, mais veillez à ne jamais passer dans le rouge et encore moins à vous abonner aux jeux de hasard. Enfin, un apport financier personnel pour la réalisation de votre projet peut être un bonus pour votre dossier. Par ailleurs, vous pouvez toujours partir à la chasse aux offres de location-acquisition pour acquérir un logement sans passer par les formalités bancaires.